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Comment désactiver le Wifi (Wi-Fi) chez soi :

Par défaut, la plupart des "box" ADSL ont l'option wifi activée, source permanente (*) d'émission "type téléphonie mobile" dont la toxicité a été prouvée scientifiquement. (**)

Celui-ci est toxique non seulement pour votre bébé, pour vous et pour votre entourage, y compris vos voisins !

Voici comment désactiver le Wifi pour s'en protéger et ne plus en faire "profiter" ses voisins !

(*) Un Wifi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé/connecté ou pas.
(**) Les ondes du wifi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile dont la nocivité a été démontrée notamment par le rapport scientifique Bioinitiative.


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Police Nationale : 'Nancy: les " plombiers de Free " sur le toit du commissariat' - L'Est Républicain - 15/01/2012

L’opérateur Free voulait installer discrètement ses antennes sur le toit de l’hôtel de police de Nancy



Police Nationale : 'Nancy: les " plombiers de Free " sur le toit du commissariat' - L'Est Républicain - 15/01/2012

La convention entre l’administrateur général des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et Free Mobile est tombée à l’eau. La vigilance et la réactivité du syndicat SGP Police FO y sont sans doute pour quelque chose.

Pour muscler son réseau en prévision du développement de ses offres de téléphonie mobile, Free projetait d’implanter trois antennes dissimulées dans de fausses cheminées érigées sur le toit-terrasse de l’hôtel de police du boulevard Lobau, à Nancy.

Juste au-dessus des têtes des fonctionnaires qui travaillent 24 h/24 h dans les locaux du Centre d’information et de commandement (CIC). Toit qui supporte déjà un mât coiffé d’un paratonnerre équipé d’antennes du concurrent Orange.

Techniciens en repérage

Le projet, piloté par la direction zonale des systèmes d’information et de communication au secrétariat général pour l’administration de la police (SGAP) à Metz, était arrivé à Nancy sur la pointe des pieds. Mais en novembre dernier, des techniciens en repérage sur le toit de l’hôtel de police avaient été… repérés, bien qu’habillés en tenue de ville, sans visibilité — à tout le moins apparente — du logo Free.

Guy Dalier, secrétaire régional d’Unité SGP Police FO et les membres de son syndicat, prenait le taureau par les antennes et découvrait « le pot aux roses », après avoir fait remonter l’information aux instances nationale, à Paris.

La machine était en route : courriers au préfet de Meurthe-et-Moselle, préfet directeur des ressources et des compétences de la police nationale (DRCPN), ministère de l’Intérieur…

Le comité d’hygiène et de sécurité saisi

« Nous nous sommes fait le relais des inquiétudes de nos collègues par rapport aux risques liés aux émissions de ce type d’antennes », explique Guy Dalier. « D’autant que tout cela semblait se dérouler dans le plus grand secret. Pourquoi vouloir cacher ces antennes dans de fausses cheminées ? Pourquoi la publicité autour du projet déjà bien ficelé n’a pas eu lieu comme l’impose la réglementation en vigueur ? Il était normal d’obtenir toute la transparence ».

SGP-FO obtient alors de Raphaël Bartolt, préfet de Meurthe-et-Moselle, que le dossier Free soit inscrit à l’ordre du jour du Comité d’hygiène et de sécurité du mois de décembre dernier. En parallèle, le secrétaire national du syndicat réclame au DRCPN un « débat dans les instances avec explication des risques encourus ou non ». La direction des systèmes d’information et de communication (DZSIC) de Metz joue la carte santé et indique qu’elle a demandé à Free de prendre des dispositions pour faire réaliser des mesures de champs électromagnétiques par un organisme indépendant agréé. Et de préciser que « si les mesures étaient défavorables, le fonctionnement de l’installation Free serait immédiatement interrompu ».

Mais Free a dû remballer sa convention et ses plans. Les antennes relais du discounter de la téléphonie ne se déploieront pas sur le toit de l’hôtel de police nancéien. Interrogée hier sur cette affaire, la préfecture s’est contentée d’une réponse courte et sobre. « La possibilité était laissée libre de s’implanter sur les toits de bâtiments publics mais concernant l’hôtel de police de Nancy, le préfet n’a pas donné suite au projet ».

D’autres projets d’installations Free sur des bâtiments de la police seraient dans les cartons à Reims ou encore Strasbourg.

Alain THIESSE



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