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Comment désactiver le wifi ?

Comment désactiver le Wifi (Wi-Fi) chez soi :

Par défaut, la plupart des "box" ADSL ont l'option wifi activée, source permanente (*) d'émission "type téléphonie mobile" dont la toxicité a été prouvée scientifiquement. (**)

Celui-ci est toxique non seulement pour votre bébé, pour vous et pour votre entourage, y compris vos voisins !

Voici comment désactiver le Wifi pour s'en protéger et ne plus en faire "profiter" ses voisins !

(*) Un Wifi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé/connecté ou pas.
(**) Les ondes du wifi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile dont la nocivité a été démontrée notamment par le rapport scientifique Bioinitiative.


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VIDEO. Environnement : ces Français qui fuient les ondes - Le Parisien - 28/08/2014



Des électrosensibles sont réunis dans un lieu où aucune onde ne passe dans les Hautes-Alpes. Ils réclament la reconnaissance de leur handicap. Des élus viennent les soutenir aujourd'hui.


Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes), lundi. Jeunes, vieux, encore en activité ou précarisés à cause de leur handicap, plusieurs dizaines d’électrosensibles se sont rassemblés dans une zone blanche, notamment pour échanger leurs expériences. | (LP/Aurélie Ladet.)
Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes), lundi. Jeunes, vieux, encore en activité ou précarisés à cause de leur handicap, plusieurs dizaines d’électrosensibles se sont rassemblés dans une zone blanche, notamment pour échanger leurs expériences. | (LP/Aurélie Ladet.)
La dernière antenne de téléphonie est à 5 km et nos portables ne captent plus lorsque nous nous enfonçons dans l'épaisse forêt de conifères entourant les gorges encaissées du Riou Froid. Malgré cette barrière naturelle qui fait obstacle à toutes les ondes, des dizaines de panneaux en carton demandent aux visiteurs de couper leur mobile.
Arrivés au bout de la route, nous sommes priés de laisser nos téléphones et nos ordinateurs éteints au fond du coffre et de garer la voiture le plus loin possible à cause des rayonnements. Deux jours auparavant, on nous avait même demandé de ne pas nous parfumer, car certains de nos hôtes, en plus d'être allergiques aux champs électromagnétiques, sont aussi chimiosensibles.

Des consignes en apparence ubuesques qui prennent tout leur sens lorsqu'on entend Marc, Pascal, Bernadette ou Camille raconter le calvaire de leur vie d'électrohypersensible (EHS). Pour échapper aux ondes qu'ils accusent de leur provoquer maux de tête, vertiges, nausées, troubles cognitifs, ils sont une soixantaine à s'être rassemblés depuis lundi sous des tentes dans ce lieu isolé des Hautes-Alpes. Venus réclamer à l'Etat la reconnaissance de leur handicap et la création d'une zone blanche, non irradiée, où ils puissent vivre sereinement, ils recevront aujourd'hui des élus, des scientifiques, des responsables associatifs qui soutiennent leur combat.

Là où l'on imaginait ne trouver qu'une bande d'originaux vivant volontairement en marge de la société moderne, on découvre des parents désemparés contraints de déménager à la campagne pour préserver la santé de leur fille, ou cette éducatrice, retraitée dans les Hauts-de-Seine, obligée de repeindre les murs de son appartement d'un revêtement spécial censé faire barrage aux champs électromagnétiques. Pour ne plus sentir son cerveau prisonnier d'un étau, Bernadette a obtenu que les cinq voisins de sa copropriété renoncent à utiliser le wi-fi lorsqu'elle est présente dans l'immeuble. « A cause des ondes émises par les portables, j'ai renoncé à aller au restaurant, au cinéma ou sur certains lieux de vacances », confie la sexagénaire.

Chef opérateur dans l'audiovisuel, Christophe a vu les premiers symptômes de l'électrohypersensibilité se manifester en janvier. Il a d'abord cru être victime d'un accident vasculaire cérébral. En arrêt de travail depuis mars, ce fan de nouvelles technologies a désormais coupé tous les émetteurs wi-fi de son appartement, n'a plus de smartphone, évite de rester trop longtemps dans le métro et a investi dans un détecteur d'ondes. « Non seulement votre vie sociale est handicapée, les visites chez les amis sont compliquées, mais on hésite à en parler de peur de passer pour un dingue ou d'être stigmatisé », confie le trentenaire. « Plusieurs milliers de personnes ont vu leur vie chamboulée par les champs électromagnétiques et une cinquantaine d'électrohypersensibles extrêmes vivent dans l'indifférence générale, isolés, en déshérence et en précarité financière dans des caves, des écuries ou des caravanes », se désole Philippe Tribaudeau, président de l'association Une terre pour les EHS.

Camille, 38 ans, est de ceux-là. Pour échapper aux maux de tête permanents et aux insomnies qui l'épuisent, elle dort dans son van au milieu d'une forêt ardéchoise, sans eau ni électricité. Si elle a fait le déplacement dans les gorges du Riou Froid, c'est pour crier son désespoir. « Les ondes sont partout et je ne sais plus où aller pour y échapper, confie la jeune femme dans un sourire. Je ne souhaite à personne de subir ce handicap car ce n'est pas une vie. »

Ils fuient les ondes wifi pour ne plus souffrir


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